jeudi 29 août 2013

La Guadeloupe, 5 destinations en une

Cet archipel compte 5 îles, ce qui fait 5 bonnes raisons de s'y rendre ! Cette destination soleil a tout pour plaire : la chaleur de vivre, la générosité des gens, les fruits exotiques et la musique pour zouker. Ces îles françaises représentent un vrai petit coin de paradis où il fait bon vivre !

Les îles de Guadeloupe sont situées dans les Caraïbes, rien que ce mot fait rêver. Et je vous rassure, aucune chance de croiser Jack Sparrow... quoique... ouvrez bien les yeux, on ne sait jamais !

Grâce à une super promo Air France, nous décollons pour la Guadeloupe au départ de Paris-Orly pour un coût de 550€ aller-retour. On atterrit à Pointe-à-Pitre (quel drôle de nom) sous une douce pluie tropicale, chaude contrairement à la pluie belge ce qui n'est pas désagréable! Et dès le lendemain, nous commençons le tour des îles sous un magnifique soleil:

1/ Grande Terre, plutôt touristique (beaucoup d’hôtels et de plages). Pour ce qui est des hébergements en hôtel, il y a l’Auberge de la Vieille Tour, superbe endroit à Gosier, mais assez cher. Si vous passez par-là, n'hésitez pas à aller faire un tour dans ses jardins. Il y a également le Club Med à Sainte-Anne, ou encore le Pierre & Vacances à Saint-François. Pour ma part, c'était plutôt gîte pas cher trouvé via le site Amivac. Franchement très moyen, mais largement suffisant pour le temps que nous y passions, car on était toujours en vadrouille !

Pour l'aspect plus touristique, voici ce que vous pouvez faire durant votre séjour :

- La Mangrove vaut le détour, rivière d’eau salée, avec une faune particulière. Passez faire un tour dans le marché de Pointe à Pitre puis prenez le Petit cul de sac marin (si vous venez du bas de l’île) et là vous arriverez dans la Mangrove en bateau dans le Grand Cul de Sac Marin.

- A Gosier, il n’y a rien de spécifique à voir. Cependant, je trouve que les plages y ont plus de cachet que celles de Saint-François et de Sainte-Anne qui sont beaucoup trop touristiques à mon goût. L’îlet du gosier est très mignon aussi. Vous pouvez le rejoindre à la nage ou avec le petit bateau qui fait des navettes entre l’îlet et la plage de Gosier. N'oubliez pas votre masque-tuba et de quoi pique-niquer.

- La Pointe des Châteaux est un endroit que j’ai beaucoup aimé. La mer des Caraïbes et l’océan Atlantique s'y rencontrent. L'eau est assez agitée et le vent y souffle pas mal mais quelle formidable impression de liberté !

- Tout au nord de l’île, il y a la porte d’enfer. Pas de plages mais des falaises magnifiques. Randonnée possible jusqu’au trou de madame coco et le trou du souffleur. Facile mais assez longue et surtout en plein soleil, il y a très peu d'ombre pour s'abriter.

2/ Basse Terre : ce côté de l'île est très nature. Si vous aimez, passez par :

- Bouillante : c’est là que se trouve la réserve Cousteau, très bon endroit pour plonger. Personnellement, je suis passée via le CIP pour plonger. Une équipe très sympa et dynamique. Il est aussi possible de plonger sur des épaves et de nuit, mais tout dépend de votre niveau en plongée.

- Prenez la route de la traversée en voiture (route qui relie l’est à l’ouest de l’île... ou inversement). Vous serez au cœur de la forêt, au sein d'une végétation luxuriante. Sur cette route se trouve la Cascade aux Écrevisses, endroit mignon. Mais ce qui vaut vraiment la peine, c’est le Saut de la Lézarde (un peu en retrait de la route de la traversée).

- La plage de Grande Anse, au-dessus de Deshaies est très agréable.

- La plage de Grande Anse de Trois Rivières (tout à fait au sud) est mon coup de cœur. Une plage calme de sable noir, très peu fréquentée, juste magique. Par contre, les rouleaux sont très impressionnants, j'en ai perdu mon maillot ! Juste en face de ce paradis, il y a un (et un seul, on ne peut pas le louper) restaurant. La Cabane Créole si je me rappelle bien. Le tenancier est haut en couleurs, très sympathique, et propose une excellente cuisine et un planteur à tomber par terre (au propre comme au figuré).

- Si vous êtes sportif, je peux vous conseiller une randonnée jusqu’au sommet du volcan La Soufrière. Attention, prévoyez de partir tôt pour avoir une vue dégagée. Et vérifiez à l’avance les conditions météorologiques. Pour ma part, j’ai eu de la pluie et du brouillard, on ne peut pas être chanceux à chaque fois. On n’y voyait pas à 5 mètres, et nous n’avons malheureusement pas été jusqu’au sommet, dommage.

- Amateur de rhum ? Visitez une distillerie. Il y a l’embarras du choix et je n’en ai pas une en particulier à vous recommander, chacune à ses spécificités, regardez dans votre guide celle qui vous plaît le plus.

- Finalement, les chutes du Carbet valent vraiment le détour. Il y en a trois, randonnée (balade même) plus au moins longue en fonction de la chute que vous souhaitez voir. J'ai vu la deuxième chute, complètement sous le charme ! Petit conseil aussi : la Cascade Paradise (digne d’une pub Tahiti gel douche). Vous quittez le parking des chutes du Carbet et vous descendez un peu plus bas. Sur votre gauche, vous découvrirez un petit « escalier » en bois assez raide (l’entrée n’est pas indiquée). Descendez-le (environ 20 minutes), et vous arriverez dans un endroit paradisiaque avec des sources chaudes ! Sur la route du retour, nous nous sommes arrêtés dans un sympathique petit resto : Naturel Bambou (sur la route de l’habituée), du côté gauche de la route en quittant les chutes, après être sorti de la forêt.
3/ Les Saintes : petites mais paradisiaques. Une à deux journées suffisent.

- Cette île est aussi appelée l’île des iguanes. Nous avons en effet croisé un beau spécimen ! Louez un scooter (un pour deux personnes) pour vous y balader, à environ 25€ la journée. Laissez-vous porter au petit bonheur la chance, vous n'aurez que de belles surprises.

- La plage du pain de sucre est un must-do de l'île. L'eau est transparente à souhait, masque-tuba sur le nez, vous ne verrez pas le temps passer.

- Montez jusqu'au Fort Napoléon, d'où vous pourrez jouir d'une vue magnifique.

- Éveillez vos papilles et goûtez le ‘tourment d’amour’, un délicieux petit gâteau fourré à la noix de coco, trop miam !

4/ Marie-Galante est appelée l'île authentique et la Désirade l'île secrète. Nous sommes restés 15 jours en Guadeloupe mais n'avons pas eu le temps de découvrir ces deux îles. Mais elles valent le détour aux dires de certains!

5/ L’ilet à Caret : nous avons joué les touristes à fond. Sur le marché de Sainte-Anne, un stand vendait des excursions d'une journée. La 'pub' est tout simplement canon : un bateau pour vous emmener sur un banc de sable blanc contenant 15 palmiers et un barbecue, pour passer une superbe journée. On craque et on n'a pas été déçus. On part en bateau, et comme guide une jeune nana super sympa, qui nous raconte des anecdotes sur l'île. On n'est pas nombreux sur le bateau, huit personnes seulement. Arrêt sur le marché de Pointe-à-Pitre, balade dans la Mangrove. Puis plongée à côté d'un îlet, rien devant, rien derrière ni sur la droite, ni sur la gauche, on est seuls au monde ! Ensuite, elle nous emmène près d'une épave qui affleure la surface de l’eau et où on peut faire de la plongée (masque-tuba). On s'y amuse comme des gosses. On arrive enfin sur l’îlet à Caret. Superbe endroit mais seul bémol, trop touristique bien évidemment… On se repose pendant que le barbecue prend. On mange, on boit des planteurs, on barbote et puis oooh désespoir, retour sur la terre ferme. Une journée incroyable, bonne humeur et rigolade au rendez-vous !

Si vous en avez l'occasion, allez à l’île de Petite Terre : je n’y ai pas été mais c’est un sacré regret ! Des amis s’y sont rendus, ils ont passé la plus belle journée de leur séjour : des raies, des requins, des dauphins…

Foncez et surtout, bon voyage !

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mercredi 28 août 2013

Houtsiplou

Houtsiplou, c’est quoi ? Ça désigne, en Belgique, un lieu imaginaire. On dit aussi Houtsiplou les bains de pieds. Ça vous parle ? Mais savez-vous que la ville de Hout-si-Plou existe réellement, elle se trouve entre Neupré et Esneux, dans la province de Liège. Je ne suis pas là pour vous faire découvrir ce hameau condrusien. Mais je termine ma petite histoire avant d’en venir au fait : HouteSiPlou signifierait Ecoute s’il pleut. Selon la légende, le meunier de ce hameau, voyant son moulin à sec, éveilla son fils au milieu de la nuit pour lui dire ‘Hoûte s’i ploût’.

Maintenant, le fait : Houtsiplou est un restaurant que j’ai découvert vendredi dernier avec beaucoup de plaisir ! Tout d’abord, il faisait merveilleusement beau, et nous avons pu profiter de la terrasse. Il se situe au numéro 9 de la place Rouppe à Bruxelles.

On peut considérer les plats comme de la petite restauration, mais je dirais de la petite restauration améliorée, vous savez, avec le petit truc en plus. Ils proposent des pâtes, des plats du genre steak, saucisses ou wok, des burgers, des salades ou des tartines. Pour ma part, j’ai opté pour la tartine en voyant l’assiette de mon voisin qui me faisait envie.

Et quel plat délicieux, c’était THE tartine ! Mon amie et moi avons décidé de commander deux tartines différentes et de faire moitié-moitié. Nous avons pris la tartine saumon-gambas-ricotta au citron. Délicieuse et copieuse, le poisson divinement bien cuit, plein de saveurs en bouche et une excellente petite salade en accompagnement. L’autre tartine : carpaccio-parmesan et pesto avec frites (maisons ! croquantes et délicieuses) comme accompagnement. Un vrai régal ! Des produits de qualité, une jolie présentation, et je vous promets que lorsque vous sortez de là, vous êtes rassasiés. Néanmoins, pour les plus gourmands, ils proposent aussi des desserts ! J’ajouterais aussi que le service fut très sympathique et rapide.

Plus d’infos sur le restaurant, cliquez ici. La cuisine est ouverte de 12h à 14h30 (15h le samedi et dimanche) et de 18h à 22h30. Les plats varient entre 11€ et 16,50€. Ils ont aussi des plats enfants.

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mardi 27 août 2013

Sous la ceinture

De Richard Dresser.
Traduction de Daniel Loayza.
Mise en scène de Delphine Salkin.
Avec: Olivier Cruveiller, François Macherey, Jean-Philippe Salério.

« Une fable satirique ou comment les coups bas sont permis ? Quelque part au milieu d’un désert, un nouveau venu – Dobbitt – vient prendre son poste de Vérificateur et fait la connaissance de son collègue Hanrahan, avec lequel il partagera une chambre. Hanrahan voit d’emblée en Dobitt un rival et le traite comme tel. A ses yeux, il est essentiel de le dégoûter tout de suite, afin que Dobitt se décide, et le plus tôt sera le mieux, soit à repartir, soit à se suicider. Il semble que tel ait été le triste sort du prédécesseur de Dobitt… Bien entendu, leur supérieur hiérarchique, le cynique Merkin, trouve autant de plaisir que d’intérêt à souffler sur le feu et les braises. Et pendant que les hommes se déchirent et s’égarent dans leurs propres pièges au milieu du désert, le monde nocturne et son peuple inquiétant accentuent silencieusement, inexorablement, leur pression sur les palissades … Une pièce qui décrit avec une remarquable acuité un certain monde de l’entreprise, un huis-clos où l’hilarité et la vivacité, loin de nuire à la gravité du propos, lui donnent un relief inattendu.»

Je suis enthousiaste, vraiment ! J'ai passé un excellent moment.

Les comédiens sont très bons avec des mimiques à mourir de rire. Ils ont beaucoup d'humour et d'ironie et les jeux de mots fusent. C'est une comédie relativement sombre rythmée par des dialogues brillants !

La pièce est très dynamique grâce à la mise en scène. Simple : trois lieux bien pensés où s'alternent les différentes scènes, dans un décor sobre. L'éclairage est bien pensé lui aussi afin de donner une ambiance mystérieuse et la musique qui accompagne les déplacements des acteurs est très justement choisie.

Cette pièce, drôle et méchante, traite de l'abstraction de soi-même, et de l'investissement de soi dans le travail. Pas de vie de famille, rien pour se distraire, la rentabilité est poussée à son maximum, sans aucun horizon joyeux. La notion de hiérarchie est un élément important, mais attention, on passe très vite d'une morale droite et juste à des complots bas et manipulateurs.

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lundi 26 août 2013

Mook's, petite boutique sympa

Durant mes recherches du cadeau de Noël parfait, de nombreuses portes de magasins ont été poussées. Hé bien oui, le cadeau parfait ne se trouve pas à chaque coin de rue… à croire que j’étais dans un rond point.

Au détour d’une de mes balades, je suis tombée sur une perle : MOOK’S, cette petite boutique située à la rue du Bailli.

Il faut dire que je suis une grande fan d’accessoires kitsch et ethniques, et la vitrine m’a dès le départ mis l’eau à la bouche. Vêtements de toutes sortes et super originaux (un peu chers par contre), accessoires divers et variés: chaussettes trop chouettes, bijoux hyper originaux et vraiment abordables, chaussures vintage, foulards pour tous les goûts, … bref, une super adresse, et je suis même sympa, je vous file le tuyau !

Ah ! et en plus, la boutique est incontestablement très agréable, il y a de l’espace entre les différentes étagères (on n’y étouffe pas) et le gérant est super sympa !

Que demander de plus ?!


Pour ce qui est des horaires d'ouverture: - lundi : 13h - 18h30 - du mardi au vendredi : 11h - 18h30 - Samedi : 10h30 - 19h Adresse : 72, rue du Bailli - 1050 Bruxelles. Téléphone : 02/649.44.94

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dimanche 25 août 2013

Amelie Nothomb - Barbe Bleue

Voici le titre du dernier roman d’Amélie Nothomb: Barbe bleue, une réadaptation du conte de Perrault... Essayez, à partir de ce titre, de vous imaginer dans quelle aventure cette écrivaine belge un peu spéciale va vous embarquer. Eh bien, vous n’y êtes pas du tout…

Encore une fois, elle nous emmène dans un monde totalement décalé, où les dialogues humoristiques et abstraits mais lourds de sens, nous mènent petit à petit sur le chemin de la découverte et de l’élucidation des mystères soulevés dans ce roman.

Pour vous mettre l’eau à la bouche, il est mentionné en 4e de couverture : « La colocataire est la femme idéale ». Mais en sommes-nous sûrs ?

Saturnine Puissant (encore un prénom savoureux à la Amélie Nothomb), une jeune et jolie belge de 25 ans, recherche une collocation à Paris. Elle tombe sur l'annonce incroyable de Don Elemirio Nibal y Milcar, un espagnol de 45 ans, très convoité, qui n'est pas sorti de chez lui depuis plus de 20 ans. Là voilà qui s'installe dans les appartements de ce noble espagnol où plane le mystère de la disparition de 8 femmes, les précédentes colocataires, dont les prénoms se terminent tous en « ine »... Et que contient la mystérieuse chambre noire ?

Ce roman qui donne froid dans le dos saura, je l'espère, vous faire frissonner de plaisir ! Je l’ai lu d’une traite, Amélie Nothomb réussissant à capter l'attention du début à la fin et à maintenir le suspens jusqu’au bout.

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samedi 24 août 2013

Mobile home, ou la tentation du voyage

" Simon et Julien, deux jeunes hommes en plein crise de la trentaine, las de leur vie, décident sur un coup de tête d’acheter un camping car et de partir pour réaliser leur rêve d’adolescent. Pas de plans vraiment précis, mais se laisser guider au gré des rencontres et des opportunités de travail. "

Le scénario touche à une thématique contemporaine. En effet, nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir se laisser tenter par l'aventure du voyage. Mais qui d'entre nous osera franchir le pas ? Comment cette aventure va se dérouler ? Ce film ne tente pas de répondre aux questions essentielles pour une préparation à un grand voyage. Il aborde, de manière humoristique mais pas naïve du tout, les divers obstacles que l'on peut rencontrer avant de se mettre en route et sur la route.

Les protagonistes ont des 'gueules' qui ne passent pas inaperçues. Leurs visages, très expressifs, transmettent bien mieux le message que les mots finalement. De plus, ils sont complémentaires ! L'un, plutôt réservé et sensible. L'autre, plutôt grande gueule et tombeur. Ils s'équilibrent dans ce film, ce qui permet à chacun d'entre nous de s'identifier à un moment ou à un autre à l'un des deux personnages.

François Pirot est un jeune réalisateur et scénariste belge, on en est fier ! On lui devait deux-trois courts-métrages tel Retraite, et quelques scénarios comme Nue propriété, Elève libre ou L’Envahisseur. Mais c’est avec son premier long-métrage, Mobile Home, que François Pirot se révèle. Ce jeune chestrolais entre enfin dans la cour des grands, et on ne peut que l'encourager à continuer sur cette voie.

La bande sonore est signée par les Liégeois du groupe Coyote, François Petit, Michaël De Zanet et Renaud Mayeur. La musique guitare/percussion au ton plutôt souriant créé des intermédiaires au périple tragi-comique de ce road-movie. Aussi, l'acteur Arthur Dupont prend la guitare et interprète quelques chansons. Rien que d'y repenser, j'en ai la chair de poule. Un très beau moment, qui vient poser de la douceur et de la fragilité dans ce film rythmé et dynamique.

Mobile Home c'est avant tout un film à mourir de rire, pas seulement grâce à l’humour des personnages, mais aussi de par les situations dans lesquelles les deux protagonistes se retrouvent. Une vraie bouffée d’air frais!

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vendredi 23 août 2013

Mon monde

Originaire de Neuchâteau dans nos belles Ardennes belges, j'ai fait de Bruxelles – Ixelles plus précisément, ma ville d'adoption. Diplômée en traduction anglais-néerlandais, avec une petite halte de quelques mois en Finlande afin d'approfondir l'anglais et découvrir ce pays et sa culture, je me suis ensuite dirigée vers des études en communication multilingue... Ahhh les langues étrangères, elles n'ont fait qu'attiser ma curiosité pour les cultures différentes et les pays lointains.

Une tranche de vie plus 'sérieuse', mais savoureuse et passionnante, d'une durée de 3 ans et demi, m'a fourni une expérience de travail dans le marketing d'une part, et l'organisation d'événements d'autre part, à la Maison du Tourisme de la France. Période toujours ponctuée de voyages plus ou moins longs, en guise d'échappatoire au ciel gris bruxellois.

Je suis une jeune (oui oui, je peux encore le dire) fille de 30 ans, passionnée par l'écriture, moyen exutoire pour moi-même, mais aussi moyen de communication avec mes amis et ma famille durant ces escapades à l'étranger. Curieuse de nature, j'ai un vif intérêt pour l'art et la culture. Je visite régulièrement des expositions, salles de théâtre et de cinéma en quête de découvertes. Avide de lectures et gourmande de nature (dans les deux sens du terme), tous les moyens sont bons pour m'évader!


C'est donc tout naturellement que je me suis rapprochée du site Culture Remains, afin de combiner mes différents centres d'intérêt ! J'espère de par mes articles retranscrire au mieux mes impressions et sentiments sur ces sujets qui me sont chers, et vous emmener avec moi dans mon monde fait de voyages divers et variés.

Aujourd'hui en mode nomade, je suis passée par l'Inde – à Pune plus exactement, afin d'effectuer un stage en journalisme. Je me suis ensuite dirigée vers l'Australie, afin d'assouvir le vieux rêve du 'down under'. Maintenant, de retour en Belgique, je cherche de quoi mon monde de demain sera fait.

- Emilie Fouquet